Antitus-Antipuce - Autres univers

Joli paysage matinal

Wed, 08 May 2013 11:45:00 +0200

Bonjour jeune et belle demoiselle
Comment allez vous en ce matin de printemps ?
Permettez moi de vous dire à quel point vous êtres belle.
Votre peau est douce comme le temps,
Votre visage est comme comme le soleil radieux
qui brille tout comme vos magnifique yeux.

Au delà de ce visage d'ange, il y a se que vous cachez,
Toute ces belles contrés que j'aime tant admirer,
A commencer par ces petites montagnes l'où j'aime me promener.
Du sommet de celle-ci, l'on vous toute une plaine de bonheur,
Je m'arrêterai volontiers une éternité sur cette douceur
mais ce serai raté beaucoup de plaisir et de beauté.

Car en fait, la beauté est partout de la tête aux pieds
Gentil-homme que je suis je vais respecter ce que vous cachez
mais soyez sûr que j'aime contempler tout vos petits secrets.

08/05/13

Déclaration d'amour

Wed, 15 Feb 2012 20:26:00 +0100

Bonjour mademoiselle !

Je vous écris car je vous trouve très charmante. Vous avez des yeux magnifique et un joli petit nez. J'aimerai vous connaitre un peu plus, discuter avec vous de tout, de rien, de la vie et de l'amour. Serait-il possible de prendre un peu de votre temps ? J'aimerai être avec vous, vous voir, vous écouter et si possible vous aimer. En attendant un signe de votre part, je suis, je reste et resterai toujours aveuglé par votre charme, votre beauté. Et je serais toujours votre serviteur dévoué. Cordialement. Amicalement. Amoureusement, votre plus grand adorateur. Loïc !

Loïc Mouquet 12/02/10

Blanche et Rouge

Wed, 15 Feb 2012 20:17:00 +0100

Blanche et Rouge

Toute blanche ou toute rouge,
Parfois encore toute nue,
Sous le soleil ou sous la pluie,
Dans les draps ou dans la neige.

Tu es toujours toute belle.
Tes yeux brillent de mille feux.
Flottant aux vents, tes cheveux,
De cuivre lancent mille étincelles.

Ta plus grande beauté,
C'est à l'intérieur qu'elle est.
Parfois sur ton visage, elle apparait,
Quand tes yeux qui se mettent à briller.

C'est pour cela que :

T'embêter me fais rire.
Te faire rire me fait sourire.
Te faire sourire me fait plaisir.

Te faire plaisir me réjouit.
Te faire gémir me séduit.
Te faire jouir m'épanouit.

C'est pour cela que je t'aime

Antitus 12/02/14

Bilan des six mois

Sat, 19 Feb 2011 00:34:00 +0100

Je me suis promis de changer, j’ai changé.

J’espérais que cela durerais mais ça n’a pas duré

Pourtant rien n’est comme avant.

Pourtant tout est comme avant.

Alors que s’est-il passé ?

Alors que se passera t-il ?

J’espérais une grande révolution

Je suis en face d’une désillusion

Six mois ont passé et je suis revenu au même point

Six mois ont passé et je suis maintenant très loin

J’espérais que des choses meilleures

Je suis partagé avec le bonheur

Six mois ont passé et j’ai appris de mes erreurs

Six mois ont passé et je n’ai pas oublié la lueur

Je suis encore trop malade et je ne peux guérir

J’espérais me l’arracher mais je ne peux le sortir

Es tu aimée ou es tu passé ?

Es tu présente ou désespérais

Je ne suis qu’un homme mais juste heureux

J’espérais n’être qu’une moitié mais à deux

Loïc Mouquet 19/02/11

Ricochets tempétueux

Thu, 23 Sep 2010 19:45:00 +0200

A chaque rebond des vagues se forment ondulantes

Innocentes au départ, devant moi, elles deviennent géantes

Et je manque de me noyer dedans mais continu à prier

Pour que ma pierre continu sa course désespérée.

Je n’oubli pas qu’elle coulera certainement

Alors je n’aurais plus à lutter contre les déferlements

Et serais véritablement libre de relancer un caillou

Qui glissera, sur l’eau, sans éclaboussures jusqu’au bout.

Je cache la lumière qui m’attire, je tente de l’ignorer

Mais elle me fait espérer que peut être, les ricochets,

Avec le temps, se transformeront en un effleurement

Sur l’eau lisse qui durera dans le temps.

Ricochets tempétueux

Loïc Mouquet 23/10/10

Sur les marches de Sillé le G.

Thu, 15 Jul 2010 21:27:00 +0200

Je suis assis sur les marches d’un escalier,

Adossé à un pilier de granite de la citadelle.

Face à moi, loin devant deux collines boisées

Aux prairies jaunies par ce début d’été.

En contre bas les toits et la dansent des hirondelles

Au dessus un flot de nuages parcourent le ciel.

J’écris sur un vieux papier avec le soleil en compagnon

Les mots que me souffle le vent tandis que j’observe l’horizon.

Mon ami disparaît, le me sens frissonner

Caché par un nuage, je ne sens plus ses baissés.

Je regarde la masse grise lentement se déplacer

Tandis que le vent en profite pour me glacer

Mais l’astre de nouveau est dévoilé

Et me réchauffe avant de, encore, se cacher.

Sur les marches l’église de Sillé le G. En attendant ma mère.

Loïc MOUQUET

15/07/10

Toile de soie, mur de bonheur.

Wed, 14 Jul 2010 23:47:00 +0200

Chaque jours les liens se font et grandissent la toile.

Bientôt, je l’espère, le passé disparaitra sous ce voile

Alors avec les pinceaux de la vie, la palette du bonheur

J’illuminerai mon horizon et le remplirai de couleurs.

Ce tissu blanc tendu est fait de mille et un brins de soie.

Je crains, j’ai peur qu’il se déchire une nouvelle fois

Ou que l’ombre resurgisse et noircisse ma peinture.

Je ne veux pas voir, sur ma fresque, une autre rature !

Ainsi, patiemment, je referme l’immense trou béant

Et continu à tisser les liens qui me feront avancer.

Mais il me faut faire attention car dans le grand néant

Anges et Démons se confondent et peuvent blesser.

Aussi je prends soin de ne pas m’offrir un gramme d’espoir,

De rester concentrer sur ce que j’ai, je sais et vois

Et de ne pas imaginer, prétendre, penser comme autrefois

J’espère que cette sagesse ne m’empêchera pas de te voir.

Je vous en prie, ne briser pas ma toile, elle est mon mur contre le passé.

Et pour un certain ange ou démon, cette toile n’est pas pour te prisonnier

Mais elle est pour me libéré, et peut être, mais pas de toi, être aimé.

Toile de soie, mur de bonheur.

Loïc Mouquet

14/07/10

Dans le vide

Sun, 06 Jun 2010 10:06:00 +0200

Une légère brise caresse mes mains, soulève ma cape. Je suis seul, immobile dans ce prés d’herbes grasses et je regarde attentivement l’horizon. L’ombre du grand hêtre me protège du soleil, les nuages courent lentement dans le ciel bleu. Au dessus de moi les mouettes volent majestueusement en criant. J‘hume l’air marin, j’écoute les vagues écumantes composer une douce mélodie avec la falaise. Je me sens le vide à mes pieds. J’écarte tranquillement les bras. Je ferme les yeux et bascule. Le vide se fait. Je suis léger. Je vole. L’air me décoiffe. L’air m’entraine. Je respire profondément et rouvre les yeux. Je vois nettement les rochers escarpés, les rochers aiguisés, recouverts de coquillages coupant. J’entends la mer se fracasser contre les rochets, l’écume crépiter. Je sens le vent plus rapide, plus fort siffler à mes oreilles. C’est déjà la fin. Ce fût un instant de bonheur, de plaisir pour touts mes sens. Durant quelques secondes, je me suis senti si léger, et plus encore que d’habitude : heureux. Je recule d’un pas, d’un deuxième avant de me retourner et de quitter ce coin de paradis, ce coin entre terre et mer l’où je puise mon énergie.

Dans le vide.

05/06/10

Loïc MOUQUET

Renaissance

Sun, 06 Jun 2010 10:05:00 +0200

La surface blanche et lisse de l’œuf craqua doucement. Une fissure apparut, grandit. Le sommet se détacha en un couvercle qui, sur le coté tomba. Pas de pleur, pas de cri, rien ne sortit de l’œuf. Il s’inclina doucement avant de tomber sur le lit de paille. Lentement, un homme sortit de l’œuf et se redressa après quatre semaines de tranquillité et d’oubli. C’est une nouvelle vie qui, pour cette homme, commence car il n’est et ne sera plus le même. Mais même revitalisé par l’œuf, il n’a pu oublier ses amis, ses affections et ses espoirs.

Renaissance

04/06/10

Loïc Mouquet

Un Chevalier Seul

Thu, 03 Jun 2010 05:20:00 +0200

Il est difficile d’être un quant on est seul. {Antipuce}

C’était un chevalier solitaire. Fièrement, il parcourait le monde sur son cheval blanc. De mers en Océans, de plaines en montagnes, de forêts en déserts, il a bravé tempête et sècheresse. De son épée il a fait couler le sang. Pas pour la gloire, l’argent ou le pouvoir mais pour vivre. De son bouclier, de ses paroles, il a protégé de nombreux innocents. Aujourd’hui, seul, abandonné, il ère toujours à travers le monde mais protégé de son armure rouillée il marche lentement, poussivement. Trop d’années seul, trop d’année sans partager, sans vivre et cela par peur de l’Homme, de lui, du monde. Il sait qu’il doit arrêter sa course, vivre, partager mais quant on est seul, quant on a peur, comment faire ? Une certaine rage est montée en lui, l’habite maintenant. Il tente de la canaliser mais il est plus facile d’être seul même si ce n’est pas bon ; pour lui, pour ce chevalier, pour quiconque.

Loïc MOUQUET

02/06/10