C’est-ce qu’il me reste, C’est mon paradis.
Mon esprit, mes rêves et mes espoirs.
Tous ce qui m’éloigne des trous noirs.
Avec elle, je ne peux tomber dans le désespoir
Car, à chaque instant, elle me permet de croire,
Plus encore, elle me permet d’entrevoir
Ce qu’il y a de plus beau dans la vie.
Quand l’ombre couvre les étoiles dans la nuit,
Alors que toute lumière semble avoir fuie,
Déshabillant la rose, l’or et le rubis
Pour ne leur laissait qu’un manteau de suie.
Lorsque le froid poussé par le vent sans bruit,
Accompagné d’une fine mais dur pluie
Vous glasses le cœur et vous laisse sans vie.
L’on peux s‘interroger sur nous, sur notre avenir.
Mais moi, je ferme les yeux, aidé du silence,
Je la cherche, je l’imagine, j’y pense,
Un mélange lumineux de souvenirs et de plaisirs
Une Etincelle flamboyant rompant la nuit
Jaillit et telle un soleil rayonnant éclair ma vie.
Ne vous laissez pas envahir par l’obscurité,
En ces temps difficiles, il existe une lumière
Pas besoin de cierges, de bénédictions, de prières
Elle est en vous, délivrez la, ouvrez les barrières
Qui l’emprisonne et laissez cette belle guerrière
Conquérir, avec l’espoir et la vie comme bannière,
Ce qu’il y a de plus beau en ce monde ; la liberté.
Loïc Mouquet
13/12/09