Une détonation. Un flash. Un sifflement perçant. Un silence. Un silence sourd. Ses yeux sont troublés. Elle est étourdie. Elle n’entend pas les hommes crier. Elle n’entend pas les coups de feu. Elle n’entend pas l’homme qui la saisit, qui la lève, qui la pousse, qui ouvre la bouche, qui cri. Petit à petit son esprit reprend le dessus, elle met les mains derrière la nuque et cri : « Je ne suis pas armée, ne tirer pas ! » Elle ne s’entend qu’à peine. L’homme lui attache les mains dans le dos et l’amène face à un mur à coté d’autres prisonniers, agenouillés. Louise a aperçu une dizaine d’hommes bien armés. Ils portent l’uniforme de l’Empire avec un brassard vert à leur bras gauche, c’est celui des unités spéciales ; cela intrigue la jeune femme. Alors que les combats ont cessé dans la salle de contrôle ils se poursuivent en d’autres points de la base ; la zone militaire est le point critique mais la mine, le laboratoire et même les installations civiles ne sont pas en reste, eux aussi victimes des assaillants.
Antitus-Antipuce
Autres univers
Mercredi 10 mars 2010 à 20:18
Publié par Antitus²
Chanter, crier pour ce monde !!
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